• Terre joyeuse,

    De tes couleurs tu te pares
    Eclat de saison...

     

     saisons-copie-1

          

    Doucement effleure
    parc, et jardin.

    Cascade des saisons...

     

    Couleur d’automne
    Le rougeoiement des feuilles
    Embellie la terre

    

     

     

     

     

    

    Glace du matin
    Emprisonne les branches
    Ornement du gel
    .

     

     


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  • Félix Leclerc ,
    (2 août 1914 au 8 août 1988).
    Auteur-compositeur-interprète, un poète, un écrivain, un acteur québécois
    Un homme engagé pour la souveraineté du Québec
    Pour la défense de la langue française....
    Il meurt dans son sommeil, le 8 août 1988 à huit heures, sur l'île d'Orléans, près de Québec,

    C’est le deuxième article que j’ose faire sur ce grand poète.
    Mon premier article, je l’ai  supprimé puisqu’il  n’avait récolté en fait, 
    aucun com !  
    Alors j'ose revenir pour la  deuxième fois,  vous proposer  ce concert
    (un vrai cadeau,  que je trouve pour ma part une  pure  merveille !).
    proposé sur  Dailymotion (merci de nous permettre ce partage)

     

    Quelques paroles au hasard :


    … J'ai pris le p'tit bonheur,
    L'ai mis sous mes haillons,
    J'ai dit "Faut pas qu'il meure,
    Viens-t'en dans ma maison."
    Alors le p'tit bonheur
    A fait sa guérison
    Sur le bord de mon cœur
    Y avait une chanson…


       http://www.dailymotion.com/video/xr0cc_felix-leclerc-concert-entier_music


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  •  

    Un hommage à un grand poète!

     

    Photo de Rimbaud par Verlaine   


    rimbaud par verlaine

    Il est né le 20 octobre 1854 à Charleville.
    Le 10 novembre 1891 est le  jour  ou Jean Nicolas Arthur Rimbaud poète français est mort à Marseille.

    Arthur Rimbaud écrit ses premiers poèmes à quinze ans.
    Ses derniers à vingt ans.

    Il renonce subitement à l’écriture. Ses idées marginales, anti-bourgeoises et libertaires le poussent à choisir alors une vie aventureuse....

     

    Bien que brève, la densité de son œuvre poétique fait d'Arthur Rimbaud une des figures considérables de la littérature française.

     

     

    Rêvé Pour l'hiver.

    L'hiver, nous irons dans un petit wagon rose
    Avec des coussins bleus.
    Nous serons bien. Un nid de baisers fous repose
    Dans chaque coin moelleux.

    Tu fermeras l'œil, pour ne point voir, par la glace,
    Grimacer les ombres des soirs,
    Ces monstruosités hargneuses, populace
    De démons noirs et de loups noirs.

    Puis tu te sentiras la joue égratignée...
    Un petit baiser, comme une folle araignée,
    Te courra par le cou...

    Et tu me diras : "Cherche !", en inclinant la tête,
    - Et nous prendrons du temps à trouver cette bête
    - Qui voyage beaucoup...

    Arthur Rimbaud, le 7 octobre 70

     

    Un petit rappel

    Le dormeur du Val d'Artur Rimbaud...




    9 commentaires
  • On espère tous dans nos rêves les plus fous
    Celui ou celle  qui saura découvrir la porte de notre cœur.
    Une source de douceur, de partage, de compréhension.
    Celui ou celle avec qui, vivre enfin le voyage de la vie

     Pouvoir trouver l’oasis au milieu du désert de cette vie
    Fraiche et limpide ou chacun pourrait poser ses bagages

    Ne laissons pas nos cœurs devenir un désert et dépérir
    Buvons à la source de ce  bonheur et aimons la vie !...

    cocci...


      Maintenant je vous partage les paroles de ce poème de Paplo Neruda :

    Il meurt lentement

    Celui qui ne voyage pas,

    Celui qui ne lit pas,

    Celui qui n’écoute pas de musique,

    Celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.

    Il meurt lentement

    Celui qui détruit son amour-propre,

    Celui qui ne se laisse jamais aider.

    Il meurt lentement

    Celui qui devient esclave de l'habitude

    Refaisant tous les jours les mêmes chemins,

    Celui qui ne change jamais de repère,

    Ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements

    Ou qui ne parle jamais à un inconnu

    Il meurt lentement

    Celui qui évite la passion et son tourbillon d'émotions

    Celles qui redonnent la lumière dans les yeux

    Et réparent les coeurs blessés

    Il meurt lentement

    Celui qui ne change pas de cap lorsqu'il est malheureux

    Au travail ou en amour,

    Celui qui ne prend pas de risques

    Pour réaliser ses rêves,

    Celui qui, pas une seule fois dans sa vie,

    N’a fui les conseils sensés.

    Vis maintenant!

    Risque-toi aujourd'hui!

    Agis tout de suite!

    Ne te laisse pas mourir lentement!

    Ne te prive pas d'être heureux!

     

    Pablo Neruda  Prix Nobel de Littérature 1971

    Un grand poète Chilien mort en septembre 1973.

     

     


     

     

     


    22 commentaires
  • Le dormeur du Val d'Artur Rimbaud

    rimbaud.jpg

     

     

    C'est un trou de verdure où chante une rivière,
    Accrochant follement aux herbes des haillons
    D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
    Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

    Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
    Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
    Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
    Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

    Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
    Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
    Nature, berce-le chaudement : il a froid.

    Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
    Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
    Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.





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  • Ce matin le clown triste , m'a fait repenser à une poésie de Maurice Carème

     

     AU CIRQUE

     

    Ah ! si le clown était venu !

    Il aurait bien ri, mardi soir :

    UN magicien en cape noire

    A tiré d'un petit mouchoir

    Un lapin, puis une tortue

    Et, après, un joli canard.

    Puis il les a fait parler

    En chinois, en grec, en tartare.

    Mais le clown était enrhumé :

    Auguste était bien ennuyé.

    Il dut faire l'équilibriste

    Tout seul sur un tonneau percé.

    C'est pourquoi je l'ai dessiné

    Avec des yeux tout ronds, tout tristes

    Et de grosses larmes qui glissent

    Sur son visage enfariné.

     

     

     


    8 commentaires
  • Et voilà je supprime mon erreur, mais ne pouvant pas laisser cet article vide  ....

     

    Les miroirs réfléchissent trop. Ils renversent prétentieusement les images et se croient profonds. [Jean Cocteau]
     
    buter1

    6 commentaires
  • Celles-ci temoignent de notre  histoire, d'un passé à jamais disparu ...!

    Mais qu'elle soient d'hier ou d'aujourd'hui :

    "Les hommes rêvent, se fabriquent des mondes idéaux et des dieux.

    Les femmes assurent la solidité et la continuité du réel"

    René Barjavel

     

      

     

     

    les deux belles


    12 commentaires
  • Suite à la demande de Josy, un poème sur le jardin de Mary Mitford.
    (il y en a un autre dans la réponse à Josy sur le com dans trio).

     

    Je ne connais rien de plus plaisant que de s'assoir là,
    Par un bel aprés-midi d'été.
    Le soleil d'ouest frémissant à travers le feuillage des sureaux

    et éclairant vos joyeux parterres

    où fleurs et massifs sont aussi serrés que brins d'herbe d'une prairie

    une floraison sauvage,

    tissée et entrelacé en couronne ou en guirlande

    avec une profusion au-delà de toute imagination.

    Mary Mitford

    (1785-1855),

    "Notre village"


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  • Terre joyeuse,

    De tes couleurs tu te pares

    Eclat de saison...

     
    Doucement effleure
    parc, et jardin.

    Cascade des saisons...

     


    2 commentaires
  • Je reprends ce petit mot pour signaler que j'ai déposé une image avec son haïku dans la page zen.

    Je viens de m’apercevoir que nous n’avons pas la possibilité de  signaler cette image à la communauté choisie…

     

     


    2 commentaires
  •  

     larmes

    Gouttent, gouttent  les nuages.
    Ce matin, du ciel couleur métal
    Tombent des larmes de cristal 

    Sanglots du ciel. Triste nature, 
    Elle  pleure sur nos visages,
    Milliers de gouttes d'eau pure...

     

     

     

       

     


    4 commentaires
  • Bonjour et belle semaine

    Jacquie-du-lac viens de nous editer  un coucou sur Jean Ferrat.
    je trouve que c'est une idée merveilleuse.


    j'ai alors pensé à cet article publié après la disparition de jean Ferrat
    (qui n'avait  pas succiter les foules chez Cocci...)

    J'ai décidé de le remettre au gout du jour et de le  republier .

     

    Juste pour ne pas oublier un grand poète disparu !

     

    ban1

     

    Dans ton Ardèche tant aimée
    Même si le dernier train est passé
    Le Mistral continuera  de nous fredonner tes chansons...

    ferrat


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